Batman: Arkham City, le prisonnier modèle

Avec Arkham Asylum il y a quelques années, Rocksteady m’avait réconcilié avec l’univers de Batman, grâce à un jeu sombre, pêchu et somme toute addictif. Ne tergiversons pas : Arkham City renouvelle l’exploit en reprenant la recette du précédent volet, agrémentée d’un grand nombre de fonctionnalités. Trop, diront certains.

I Am Alive, survie en milieu hostile

Un temps, on l’a cru annulé, mais I Am Alive n’a finalement pas fait mentir son nom. De ses longues années de gestation, ne reste cependant qu’un petit jeu sans grande prétention, que l’on achète pour pas grand chose et que l’on oubliera sûrement assez vite. Mais pas un mauvais jeu pour autant.

L.A. Noire, Phelps mène l’enquête

Jeu ambitieux, jeu prétendument révolutionnaire… mais jeu au développement chaotique et qui, partant, n’a pas su combler toutes les attentes. On s’est beaucoup gaussé de L.A. Noire pour cela, et peut-être encore davantage depuis qu’il a été piètrement porté sur PC. N’empêche, cet inclassable présente un certain charme, auquel ne peut que succomber celui qui apprécie son atmosphère toute particulière, celle des films noirs et de l’Amérique des années 1940-1950.

Driver: San Francisco, d’un conducteur l’autre

Depuis le deuxième épisode, personne n’attend plus grand chose de la série des Driver. Malgré les tentatives visant à placer la franchise sur de nouveaux rails, on ne songe qu’avec nostalgie au titre de Driver. Le dernier né, estampillé San Francisco, vient-il altérer cette logique ? Oui et non, car s’il représente assurément un mieux, c’est au prix de parti pris radicaux, qui ne contenteront pas les puristes de la première heure.