En sortant Dead Space en 2008, Electronic Arts créait la surprise : l’éditeur montrait qu’il pouvait promouvoir autre chose que Need for Speed, Battlefield, Les Sims et ses innombrables jeux de sport. Nouvelle franchise issue d’un studio appartenant à EA, Dead Space présentait de forts atouts : un gameplay novateur, un univers prenant et une fière allure. Dead Space 2 surprend moins, puisqu’il reprend tous ces bons points en les agrémentant de quelques trop rares nouveautés.
Dear Esther, ceci n’est pas un jeu
Mod devenu jeu indépendant, Dear Esther se remarque dans le paysage vidéoludique en ce qu’il se situe finalement en marge de celui-ci. De fait, par sa durée, sa narration et son absence de gameplay, il s’apparente davantage à un film qu’à un jeu. C’est pour ce parti pris que la controverse gronde : les uns adorent, les autres détestent, mais rares sont les indifférents.
Split Second, tout feu tout flamme
Des voitures et des explosions, voilà qui pourrait résumer à l’extrême ce Split Second, dont on ne sait pas s’il faut ou non lui attribuer l’extension Velocity, présente sur la boîte, mais absente partout ailleurs. Peu importe, finalement, puisque la vitesse compte assez peu au regard de la tactique, donnant à ce titre un petit quelque chose en plus. Dommage que les développeurs se soient trop reposés sur ce petit quelque chose.
Freeman’s Mind – Episode 41
Le rythme soutenu précédemment promis n’a pas vraiment été respecté, mais Ross Scott sort enfin le 41e épisode de Freeman’s Mind. Un épisode qui pourrait être plébiscité par Michael Bay tant les explosions y ont la part belle. L’explosif Gordon y retrouve l’air pas très frais du Nouveau Mexique et finit par atteindre un barrage dont se souviennent à coup sûr tous les joueurs de plus de vingt ans. Bon visionnage.